The Two Hands of God is a fascinating exploration and expisition of the myths of polarity, those crucial symbolic relationships such as light and darkness, good and evil, which illustrate the inner unity of opposites. It is a rich source of the themes that have made Alan W. Watts one of the most popular of contemporary philosophers. Those themes, centering on the idea that explicit oppostion conceals implicit unity, are superbly illustrated here by a treasury of stories and myths from Chinese, Indian, Egyptian, Iranian, and Early Christian sources, and by twenty-three photographic plates to which detailed explications are supplied. The first section of the book deals with the inner unity of opposites as shown in Taoist, Buddhist, and Hindu myths and images. The second introduces the Middle eastern myths of the conflict of good and evil. The third follows the disappearance of this inner unity to its extreme in ultimate dualism, especially as indicated in the Christian mythology of Satan and hell. The concluding section, 'dismemberment Remembered,' describes the restoration of opposites to their eternally implicit union in myths dealing with the creation of the world , the generaton of offspring, and other themes. Alan W. Watts, one of the most influential philosophers and teachers of our time, is the author of many books, among them This Is It and The Book, both available from Collier Books. Contents List of Plates List of line drawings Preface Introduction One the primordial pair Two The cosmic dance Three The two brothers Four Ultimate dualism Five Dismemberment remembered Notes on the plates Bibliographical references Index

> LES DEUX MAINS DE DIEU, Les mythes de polarité, de Alan Watts. — Alan Watts essaie de voir s’il n’existe pas une unité fondamentale au-delà de la dualité. Il constate que cette unité est implicitement reconnue dans les traditions d’Extrême-Orient, et qu’à mesure qu’on se dirige vers l’Ouest – en passant par l’Égypte, l’Iran, et la Palestine – elle a tendance à disparaître : pour laisser la place dans le monde chrétien à un dualisme ultime, une opposition radicale entre le bien et le mal, Dieu et Satan. Editions Le Mail, 1989 - 200 p.
—3e millénaire, (15), Printemps 1990

> LES DEUX MAINS DE DIEU, Les mythes de polarité, de Alan Watts. — Les deux mains de Dieu se présente en premier lieu comme une anthologie de textes sur les mythes de polarité — les relations polaires, ou réciproques, entre des événements ou des forces habituellement considérées comme opposées telles que la vie et la mort, le jour et la nuit, le masculin et le féminin, le moi et le non-moi. Derrière ce premier regard, A. Watts essaye de voir s’il n’existe pas une unité fondamentale au-delà de la dualité. C’est ainsi qu’il constate que cette unité est implicitement reconnue dans les traditions d’Extrême-Orient et qu’à mesure qu’on se dirige vers l’ouest — en passant par l’Égypte, l’Iran et la Palestine — elle a tendance à disparaître dans le monde chrétien pour faire place à un dualisme ultime, une opposition radicale entre le bien et le mal, Dieu et Satan, etc. Ouvrage de référence, ce livre est aussi un ouvrage d’auteur où l’on retrouve au fil des pages l’essentiel des thèmes qui ont préoccupé A. Watts tout au long de sa carrière : la signification relative du bien et du mal, la place de l’homme dans la nature, l’unité de l’être, la fonction de la pensée et du langage, l’illusion du monde, le jeu cosmique.
A la lumière de cette sensibilité plus profonde et plus globale, il devient clair que les choses sont reliées par ces frontières que nous considérons ordinairement comme des facteurs de séparation et, qu’en réalité, elles ne sont définissables que par rapport aux autres choses qui diffèrent d’elles.
Le cosmos apparaît comme un réseau de cristaux multidimensionnel dont chacun côtoie les reflets de tous les autres, et les reflets des reflets de tous les autres… Au coeur de chacun brille le point de lumière unique que chaque cristal réfléchit en provenance de tous les autres. Une maxime hassidique dit : “Si je suis moi parce que tu es toi, et si tu es toi parce que je suis moi, alors je ne suis pas moi, et tu n’es pas toi.” Éd. Le Mail.
—Nouvelles Clés, (12), Juillet/Août 1990, (pp. 66-67)

Librería 5. Estante 1.