Patrick Rambaud

Completamente agotado, un soldado de la Grand Armée busca un lugar para descansar su cabeza y dormir. Al despertar, se da cuenta, con cierta indiferencia y cierto asco, que un montó de brazos y piernas amputados le sirvieron de almohada. Tal es el cuadro que describe Patrick Rambaud en La batalla. El relato de la batalla de Essling, en los suburbios de Viena, donde Napoleón, al frente de un ejército compuesto por franceses, españoles, portugueses, sardos, bávaros, hamburgueses, polacos, napolitanos, wurtemburgueses, croatas, eslovenos, daneses y quién sabe cuántas nacionalidades más, se enfrentaron al ejército austríaco y húngaro, que había pasado a al ofensiva.… (mere)

Toujours aussi vivifiant de se remémorer avec quelques années de recul les grands et petits évènements qui ont secoués la vie politique et sociale du pays au travers du regard impertinent de Patrick Rambaud. Cette fois-ci il nous rappelle la vague d'espoir qui était né avec l'avénement d'Emmanuel Macron pourtant vite déçue. Le rappel permanent de la formation jésuite de notre président permet d'éclairer certaines décisions ou positions. Le "en même temps" en découle. Le parallèle également avec l'histoire parfois ancienne, nous rappelle également que en politique rien n'est nouveau. moins acerbe et critique que les chroniques précédentes, au fil des pages on ressent tout de même une certaine sollicitude de la part de l'auteur pour le Président, mais connaissant la suite de l'histoire on peut s'attendre à une chronique beaucoup moins bienveillante.… (mere)