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The Kingdom Under the Sea

af Henri Queffelec

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La demi-cordée se remonte, encore triomphale. Quantité, qualité – diversité aussi. Dire que tous ces poissons eussent pu rester ici à se dévorer les uns les autres. Un palangrier douarneniste qui se nommait le Gamineur les avait flairés comme le requin les eaux sanglantes. Il ne s’en laissait pas conter, lui, sur la pénurie des fonds marins ! Les Japonais et les Norvégiens étaient de grands pêcheurs ; les Bretons également ! (p. 82, Chapitre 4, Première partie).

Henri Queffélec, c’est l’assurance de lire un livre sur la Bretagne. Ecrivain régionaliste mais qui a su se faire connaître au-delà de ses étroites frontières, comme le montre ce roman qui a obtenu le Grand Prix du roman de l’Académie Française en 1958. C’était une bonne lecture en perspective donc, un moment simple de détente iodée espérais-je. Mais j’ai été bien déçue. J’ai trouvé une histoire sans intérêt et bien pensante, un style plat qui ne m’a pas emportée, qui ne m’a pas fait me sentir sur le pont d’un bateau ni à la criée de Douarnenez. J’ai même été étonnée par le vocabulaire, ne reconnaissant pas les noms des poissons, ni même celui du type de bateau qu’est le Gamineur, un cordier, alors que je n’ai jamais entendu parler que de palangrier. De même, j’ai été embêtée par la course au tonnage et à la négation de la baisse des ressources halieutiques, qui était pourtant déjà signalée à l’époque, mais peut-être suis-je ici un peu anachronique.
Un roman dont ni le fond ni la forme ne m’ont accrochée est pour moi un coup d’épée dans l’eau, et c’est bien le sentiment qu’il m’est resté quand j’ai eu refermé ce livre.

------------------------- Deuxième note de lecture (juin 2019) -------------------------
Je pensais, en lisant ce livre, pouvoir réduire d’une unité le nombre de livres qui dorment depuis trop longtemps sur les étagères sans que je les aie jamais ouverts. Mais les premières pages m’ont semblé bien familières, puis il y a eu l’épisode des radis et là, je me suis dit qu’il y avait anguille sous roche (ou julienne au fond de la mer). Je me suis donc aperçue, en venant farfouiller sur ce précieux site qui recense toutes mes lectures depuis bientôt dix ans que j’avais déjà lu ce livre, en 2013, cela ne nous rajeunit pas ma bonne dame…
Et ma note de lecture était plutôt acerbe à l’époque. Je crois que je vais être plus clémente aujourd’hui, j’ai été plus sensible aux tiraillements entre la fierté de pêcher, de ramener le plus de poissons possible et les inquiétudes face à la raréfaction des ressources. Il n’est pas facile de changer ses pratiques, de savoir placer sa fierté ailleurs que là où on l’a toujours mise, et où nos pères ont mis la leur avant nous.
Par contre, je suis toujours aussi agacée par les tensions conjugales qui font la trame narrative de ce livre. Trop mélodramatique pour moi, tout à fait dispensable. Est-ce un poncif des romans de mer de dépeindre ainsi le brave, fier et valeureux capitaine comme un homme malheureux en amour ? Roger Vercel utilise la même trame dans le célèbre Remorques ou le moins célèbre Jean Villemeur, et cela devient lassant. Certes, c’est un peu l’Albatros de Baudelaire (toutes proportions gardées !), l’intrépide homme de mer que ses ailes de géant empêchent de marcher dès qu’il rejoint le plancher des vaches, mais au bout de quelques livres, cela devient un marronnier, et j’attends mieux d’un roman maritime.
  raton-liseur | Oct 15, 2013 |
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