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Indlæser... Society of the Spectacle (original 1967; udgave 2005)af Guy Debord (Forfatter), Ken Knabb (Oversætter)
Work InformationSkuespilsamfundet af Guy Debord (1967)
![]() Der er ingen diskussionstråde på Snak om denne bog. Bite sized thoughts. Very thought provoking, if you can get past the encrypted text. ( ![]() finally finished reading this and apart from the weird kind of anti-civ undertones he hits in the later chapters he really got literally everything 100% correct huh Disclaimer: This book/essay is not written in a straightforward manner, and it's not always clear what the author is trying to say (if anything at all). Some of it feels just like arbitrary subject-object inversion ("are you watching TV... or is it watching you? Is X doing Y... or is Y doing X? "). This means I can't honestly tell if the ideas I got out of this work were actually put in by the author, or whether it was some sort of verbal Rorschach where you see what you want. Overall though, I was deeply fascinated by what I think this was about, and I think it has lots of deep insight and 'food-for-thought' about our entertainment-based society. ah it's the bourgeoisie conspiracy theory again > Babelio : https://www.babelio.com/livres/Debord-La-societe-du-spectacle/1788 > UN MONDE MÉDIATISÉ LA SOCIÉTÉ DU SPECTACLE, de Guy Debord, Paris, Gallimard, 1992, 180 p. ; COMMENTAIRES SUR LA SOCIÉTÉ DU SPECTACLE, Paris, Gallimard, 1992, 120 p. — Fondateur de l’internationale situationniste, Guy Debord est bien connu pour son esprit critique et ses déclarations fracassantes. En même temps qu’il amuse par son non-conformisme, il agace, car il a eu raison avant tout le monde : par exemple en ce qui concerne le caractère totalitaire de la société soviétique ou le potentiel révolutionnaire du mouvement étudiant dans les années 1960. On a tenté de sortir Debord de la marginalité et de le récupérer. Mais personne ne le connaît bien puisqu’il a toujours refusé les interviews et fui les caméras de télévision. Dans ses Mémoires (Panégyrique, Paris, Éditions Serge Lebovici), il dit de lui-même: « Je me suis fermement tenu, docteur en rien, à l’écart de toute apparence de participation aux milieux qui passaient alors pour intellectuels ou artistiques ». Sorte de vagabond et d’ivrogne vivant tantôt à Lisbonne, Venise ou Hambourg et séjournant plusieurs fois en prison, Debord a vécu dans la clandestinité, entouré de « rebelles et de pauvres ». Aujourd’hui les Éditions Gallimard ouvrent leurs portes au rebelle et, accompagné de « Commentaires » datant de 1988, son ouvrage, La société de spectacle, publié d’abord en 1967, devient un classique. Vingt-cinq ans plus tard, les analyses de Debord tiennent-elles toujours ? La société du spectacle continue-t-elle sa marche ? Certes le point de vue de Debord peut nous apparaître paranoïaque : tout est contrôle, surveillance, désinformation et pratique organisée de la rumeur. Sans parler de la Mafia. Une telle conception de l’histoire, facilement policière, nous invite à nous méfier de tout et de tous, surtout des spécialistes : « L’expert qui sert le mieux, c’est, bien sûr, l’expert qui ment ». Guy Debord a été, faut-il préciser, marxiste, mais s’il y a cru en la Révolution, ce fut à celle des situationnistes et non pas à celle des marxistes-léninistes. Indissociablement économique, politique et culturelle. Son analyse met en évidence les traits suivants de la société modernisée : « le renouvellement technologique incessant ; la fusion économico-étatique ; le secret généralisé ; le faux sans réplique ; un présent perpétuel ». Tout cela conduit à un nouvel obscurantisme : victoire totale du secret, démission générale des citoyens, perte complète de la logique, progrès de la vénalité et de la lâcheté universelle. L’aliénation est complète : « (…) Pour la première fois dans l’histoire, le vieux problème de savoir si les hommes, dans leur masse, aiment réellement la liberté, se trouve dépassé : car maintenant ils vont être contraints de l’aimer ». Le pessimisme de Debord peut paraître excessif à tous ceux qui se font aujourd'hui les chantres de la société libérale et de la démocratie. Mais la force de son intuition est d’avoir compris une des caractéristiques fondamentales de notre société, à savoir qu’elle est une « société du spectacle ». Tout, de la politique à la médecine en passant par la justice, devient spectacle. Même la guerre est une guerre-spectacle. Et aussi, comme on l’a vu à Oka, la révolte et la contestation. Immédiat, spectaculaire, l’effet médiatique entraîne cependant une banalisation des événements, mettant tout sur le même plan : le vrai et le faux, l’important et le secondaire. Le monde des idées n’y échappe pas non plus : élaborées par des vedettes (dont les vedettes de la télévision), elles suivent la mode et après consommation rapide, elles sont jetées ou recyclées. Guy Debord est aujourd’hui le seul à vouloir « nuire à la société spectaculaire ». Même si le style de ses textes-thèses est froid et hautain, il a eu raison de ne changer aucun mot à son livre : sa critique demeure actuelle et son ironie, décapante. (Marcel FOURNIER) —Le Devoir, samedi 16 janvier 1993
Here on terra firma, on the brink of our brave new nirvana six years later, Debord's integrated spectacle — the techno-media juggernaut — looms larger than life. Just prior to his death, the 62-year-old who drank too much and wrote too little had wryly observed, in the "Preface to the Third French Edition" of his uncannily prescient text, that the "same formidable question that has been haunting the world for two centuries is about to be posed again, everywhere: How can the poor be made to work once their illusions have been shattered and once force has been defeated?" Notable Lists
"Few works of political and cultural theory have been as enduringly provocative as Guy Debord's The Society of the Spectacle. From its publication amid the social upheavals of the 1960s up to the present, the volatile theses of this book have decisively transformed debates on the shape of modernity, capitalism and everyday life in the late twentieth century. Now finally available in a superb English translation approved by the author, Debord's text remains as crucial as ever for understanding the contemporary effects of power, which are increasingly inseparable from the new virtual worlds of our rapidly changing image/information culture."--Jacket. No library descriptions found. |
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