> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Cues-Le-tableau-ou-la-vision-de-Dieu/1363626

> Jolivet Jean. Nicolas de Cues. Le Tableau ou la vision de Dieu.
In: Revue de l'histoire des religions, tome 204, n°4, 1987. pp. 452-453. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/rhr_0035-1423_1987_num_204_4_2178

> Guelluy Robert. Nicolas de Cues, Le tableau de la vision de Dieu. Introduction et traduction par Agnès Manazzoli. 1986.
In: Revue théologique de Louvain, 18ᵉ année, fasc. 3, 1987. p. 391. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/thlou_0080-2654_1987_num_18_3_2260_t1_0391_0000_1

> La vision de Dieu (extraits) et Comment discriminer le Spectateur du spectacle (extraits),
In: Revue 3e millénaire, n°54, Hiver 1999 (p. 54)

> « Seigneur Dieu, toi qui aides ceux qui te cherchent, je te vois
dans le jardin du Paradis et je ne sais ce que je vois car je ne vois rien de visible.
Et je sais seulement que je sais que je ne sais pas ce que je vois et que jamais
je ne pourrai le savoir. »
—Nicolas de Cues, Le Tableau ou la vision de Dieu, (1453), Cerf.

> « Aimer, pour Toi, c’est voir. »
—Nicolas de Cues, Le Tableau ou la vision de Dieu, (1453), Cerf.

> « Qu’est-ce que voir, pour toi, Seigneur, quand tu me regardes avec
l’oeil de la bienveillance, sinon être vu par moi ? En me voyant,
tu te donnes à voir à moi, toi qui es le Dieu caché. Personne ne
peut te voir tant que tu ne te donnes par à voir. Et tu n ’es vu
que lorsque tu vois celui qui te voit. »
—Nicolas de Cues, Le Tableau ou la vision de Dieu, (1453), Cerf.

> « Aimer, pour Toi, c’est voir. »
—Nicolas de Cues, Le Tableau ou la vision de Dieu, (1453), Cerf.

> Qu’est-ce que voir, pour toi, Seigneur, quand tu me regardes avec
l’oeil de la bienveillance, sinon être vu par moi ? En me voyant,
tu te donnes à voir à moi, toi qui es le Dieu caché. Personne ne
peut te voir tant que tu ne te donnes par à voir. Et tu n ’es vu
que lorsque tu vois celui qui te voit.
—Nicolas de Cues, Le Tableau ou la vision de Dieu, (1453), Cerf.

LA VISIÓN DE DIOS

De visione Dei es una obra de madurez de Nicolás de Cusa;
no es una de las últimas, pues después de ella el
cardenal escribió, entre otras, De Beryllo, De principio, De
Possest, De non aliud, De venatione sapientiae, De apice
theoriae, obras fundamentales de la última etapa de su vida
especulatival. Sin embargo, algunos temas cardinales de su
pensamiento alcanzan su punto álgido en De visione Dei,
como se echa fácilmente de ver por las remisiones a esta
obra en otros escritos posteriores; a esa afirmación no se
opone el hecho de que Nicolás de Cusa prosiguiera buscando
afanosamente explicitar más y más su pensamiento.
especialmente sobre lo que fue el tema por antonomasia de
su especulación: la accesibilidad, comprehensibilidad y el
nombre más propio del Absoluto...

De visione Dei fue compuesta en 1453 como una
introducción a la vida mística, destinada a los monjes
benedictinos del convento de Tegernsee, con cuyo abad,

1. Para una visión de conjunto de las últimas obras de Nicolás
de Cusa, cfr. pp. 10-18 de mi introducción a Nicolás de Cusa: De
apice theoriae. Introducción, traducción y notas, Pamplona 1993
Cfr. también, aunque no comparto completamente su interpretación de
la evolución del pensamiento cusánico, CRANZ, F. E., The late works
of Nicholas of Cusa, en Nicholas of Cusa in search of God and
wisdom, Leiden 1991, pp. 141-160.