At the beginning I wanted to write many things about that but... I don't now, not after last twenty pages. This is not a typical book. This is a string of elaborately detailed images placed one after another in certain fashion that calls for re-read some time later. Why? Because all this images are about idea of the links between imagination and reality. They are not stony real. They are not mushy fantasy. They are links. They are what your brain tells you it see when you look at the picture. Hence the “must remain between us” bit.
P.S. I'm completely sure now that I'm cursed with name “Anna”. Damn. ( )

Decisamente sopra le righe, la descrizione di sesso e violenza può far storcere il naso a qualcuno. Nel complesso, intrigante e (incredibilmente) scritto bene. Un po' scontato sul finale forse, si ha come la sensazione di sapere già dove si andrà a parare. ( )

No nevim... snaha sokovat netradicnim sexem? O nicem jinem to nebylo, pulka knihy byly eroticke sny hrdinky, jak ji kdo naklada. Mozna snaha sokovat, ze zeny maji rady sex a to i perverzni? Jen popisy snu, nebo z vecirku, kam chodi s kamaradkou Annou: swingers, sadomaso klipy (ala insex), dekadentni vecirek ala Eyes Wide Shut... EWS autorce evidentne bylo vzorem, snazila se dej zaramovat napinavou situaci, odhalenim kultu mysterii kteremu se oddavaji jen ti nejbohatsi a nejmocnejsi. Bohuzel kolize, krize i katastrofa prijdou na radu az ve trech ctvrtinach knihy. Jakoby si autorka uvedomila, ze ma omezeny pocet stran, takze rychle za vsecky ty fantasmagorie o sukani nacpala to dramo, ktere prekotne probehlo na par poslednich strankach. Dost nesourode, no. ( )

Sasha Grey's first foray into writing is littered with classic film references, and the novel itself centers around a Kubrick-esque secret sex society. It is, predictably, replete with sexual scenarios and lurid imagery but as such it is well written avoiding the purple prose of bad harlequins or the unreadable "steamy" scenes in Fifty Shades of Grey. You'd think that the protagonist in an erotic novel written by a former pornographic actress would be a Mary Sue character, but this isn't the case. The author puts us inside her character's head and keeps us there, with her doubts and insecurities. That said, the progression of the chapters seems formulaic, bouncing from an internal monologue to a sex scene to a plot driving event sequence. Further, the twist at the end also suffers from relying on formula. Howeever, if I had to choose between this and Fifty Shades, I'd choose this. Someone who had sex professionally for years who has also read the erotic classics from De Sade, Bataille, an others obviously pulls it off better than somebody who started out writing smutty fan fiction about teenage vampires. ( )

L'auteure a un talent naturel pour la littérature de gare. Elle ne manque pas d'esprit, ni de corps si tant qu'il s'agit d'une sorte d'autofiction à partir de ses propres expériences libertines. Sasha Grey est une star du cinéma XXX ayant remporté une quantité indécente de prix, dont l'équivalent d'un Oscar jusqu'au Favorite Oral Starlet (Starlette favorite pour les fellations) en 2010 avant d'accrocher...Quoi? Son string? Sa gorge profonde?, et de prendre sa retraite via une annonce sur Twitter. Son importante filmographie comprend aussi The Girlfriend Experience de Soderbergh (2009). Elle se livre dans ce roman à travers le regard d'une étudiante en cinéma qui partage son parcours initiatique et ses notes de cours : On apprend entre autres que la subordination de l'intrigue aux personnages est le trait qui distingue la littérature ou le cinéma de la porno. Dans ce cas, le critère s'appliquant, nous sommes en mesure de confirmer que l'oeuvre appartient à la catégorie de la porno, puisque la psychologie des personnages se révèle assez secondaire par rapport à la combinaison des circonstances et des activités qui se déroulent. Au début de la narration, le texte est néanmoins parsemée de références cinématographiques aussi éloquentes qu'instructives (Belle de jour, Le Mépris, Citizen Kane, À bout de souffle, Le dernier tango à Paris, Made in U.S. A de Godard,etc.), mais cette veine s'épuise assez rapidement. La transposition la plus évidente, outre Les Cent Vingt Journées de Sodome, est Eyes Wide Shut de Stanley Kubrick avec la secte occulte et la messe noire orchestrée par des hommes puissants et des politiciens de haut niveau qui forment la Juliette Society dans une finale assez prévisible. Quoiqu'il en soit, cette oeuvre reste un bien meilleur coup que 50 Shades of Grey, ne serait-ce que pour la critique sociale (dont Kim Kardashian fait notamment les frais), cet humour grivois et cette langue de la rue que l'auteure pratique avec un aplomb certain. Bref, ce n'est pas un supplice à lire. Citaton : "Les Cent Vingt Journées de Sodome. Le seul livre jamais écrit qui surpasse la Bible en matière de violence et de perversion sexuelle." ( )