Agnès Ledig

ace demasiado tiempo que Julie ha dejado de creer en los cuentos de hadas, en la bondad y todas esas patrañas. Con apenas veinte años, es cajera de un supermercado donde aguanta las impertinencias y el acoso de su jefe por miedo a perder su puesto. No se lo puede permitir, necesita ese trabajo. Es madre soltera y tiene que valerse por sí misma, ya que su familia le dio la espalda cuando se quedó embarazada del pequeño Lulú, un niño de tres años adorable.

Pero un día un desconocido le tiende una mano por pura generosidad. Conmovido por su situación familiar, Paul, un cliente del supermercado, la invita espontáneamente a pasar con el niño unos días en la costa bretona junto a él y su hijo Jérôme. Reacia en un primer momento, la joven madre acaba aceptando la propuesta sin saber que estas vacaciones van a cambiar sus destinos para siempre. Un viaje de no retorno y una cadena de sucesos inesperados mostrarán a Julie la cara más triste pero también la más amable de la vida...… (mere)

Édouard a 50 ans, Élise en a 17. Ils se racontent leur "avant" et nous laissent plonger tour à tour dans leurs souvenirs, de la naissance jusqu'à leur rencontre au lycée.
Elise écrit son journal au moment même où naît leur histoire d'amour, Édouard, lui, au moment où ils se retrouvent 33 ans plus tard.

L'idée de l'écriture de "Compter les couleurs" est née alors qu'Agnès Ledig rédigeait son roman "Se le dire enfin" qui raconte les retrouvailles d'Élise et d'Édouard. Connaître l'avant pour mieux comprendre le maintenant...
La plume d'Agnès Ledig est douce et légère, elle décrit le sentiment amoureux avec tendresse et pudeur.
En 90 pages seulement, on éprouve un attachement profond pour les personnages et on referme ce livre avec une seule envie : se plonger dans "Se le dire enfin"...… (mere)

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Ledig-Pars-avec-lui/645236

> PARS AVEC LUI, par Agnès Ledig (Pocket, 2016, Poche, 352 pages). — On retrouve dans Pars avec lui l’univers tendre et attachant d’Agnès Ledig, avec ses personnages un peu fragiles, qui souvent nous ressemblent. L’auteur de Juste avant le bonheur sait tendre la main aux accidentés de la vie, à ceux qui sont meurtris, à bout de souffle. Mais aussi nous enseigner qu’envers et contre tout, l’amour doit triompher, et qu’être heureux, c’est regarder où l’on va, non d’où l’on vient.
—Johnny Gimenez (Culturebox)… (mere)