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Arthur Janov (1924–2017)

Forfatter af Primalskriget I : Primalterapi: Kuren mod neurose 2

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Om forfatteren

Arthur Janov was born in Los Angeles, California on August 21, 1924. After serving in the Navy, he received a bachelor's degree in psychology and a master's degree in psychiatric social work from the University of California, Los Angeles and a Ph.D. in psychology from Claremont Graduate University. vis mere He spent nearly 20 years providing conventional psychotherapy at the Los Angeles Children's Hospital and in private practice. In the late 1960's, he created primal therapy. His book, The Primal Scream, was published in 1970. His other books included The Primal Revolution, Prisoners of Pain, Imprints: The Lifelong Effects of the Birth Experience, The Biology of Love, Primal Healing, The Janov Solution: Lifting Depression Through Primal Therapy, Life Before Birth: The Hidden Script That Rules Our Lives, and Beyond Belief: Cults, Healers, Mystics and Gurus - Why We Believe. He died on October 1, 2017 at the age of 93. (Bowker Author Biography) vis mindre

Værker af Arthur Janov

Børn og følelser (1973) 60 eksemplarer
The Primal Revolution (1972) 44 eksemplarer
Prisoners of Pain (1980) 24 eksemplarer
The Biology of Love (2000) 19 eksemplarer
Primal man: The new consciousness (1975) 18 eksemplarer
L'amour et l'enfant (1992) 2 eksemplarer

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> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Janov-Le-Cri-primal/22469

>  LE CRI PRIMAL, d'Arthur Janov. — Psychologue clinicien, Arthur Janov a élaboré vers 1967 les bases de la thérapie primale. Son livre, Le cri primal, publié en 1970 aux Etats-Unis, a connu un succès considérable. Le cri n’est qu’un aspect de la thérapie primale. Lorsque la souffrance dans l’enfance a été trop insupportable, elle est refoulée dans l’inconscient et ne s’exprime que sous forme de tension. C’est au moment où le patient arrive à se reconnecter sur cette souffrance enfouie que le cri jaillit : c’est l’expérience du primal qui consiste à revivre totalement un traumatisme de la petite enfance et à s’en libérer. Flammarion, 1975
Revue Française de Yoga, (7), Janvier 1993
… (mere)
 
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Joop-le-philosophe | 3 andre anmeldelser | Oct 2, 2019 |
Librería 2. Estante 6
 
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atman2019 | 3 andre anmeldelser | Jul 19, 2019 |
> LA GUÉRISON PRIMALE, Comment libérer l'incroyable puissance des sentiments, de Arthur Janov. — La vie prénatale, la toute petite enfance, l’enfance, laisse des traces indélébiles dans la psyché. Plus précisément, dans les cerveaux limbique (siège des émotions et des sentiments), et reptilien (partie du cerveau la plus archaïque, régissant les instincts, les besoins fondamentaux), ce qui implique que ces traces sont non-verbales. Elles s’inscrivent dans la page blanche du psychisme de l’enfant avant l’apparition des mots. Le manque d’amour (refus de la grossesse, désir d’un garçon alors que c’est une fille qui se présente, incapacité à accueillir le nouvel être, etc.), un choc traumatique, laisse des empreintes qui conditionneront la vie de l’adulte. En d’autres termes, nous sommes soumis à des forces inconscientes imprimées au plus profond de nous-mêmes. Ces forces agissent sur l’ensemble de l’individu : cerveau, muscles, sang ; pensée, émotions, corps, et la personnalité se construit autour de tels traumas. Tout ce qui est écrit précédemment commence à être bien connu en psychologie, et en neurosciences, et le Dr. Janov collabore avec des scientifiques d’une prestigieuse université américaine pour valider son travail. En quoi consiste la thérapie ? C’est là que Janov est novateur, car il prend le contrepoint de nombreuses thérapies. Les traumatismes précoces ou le manque d’amour parental laissant des empreintes non verbales, il devient inutile de passer par la parole : celle-ci ne pourra jamais « déloger » les conséquences émotionnelles et corporelles desdites empreintes. Il s’agit bien plutôt de déconnecter le cerveau gauche, et pour cela faire reposer la thérapie sur le « revécu ». Celui-ci est loin d’être conceptuel. Car revivre un choc émotionnel ou corporel, emmagasiné dans une mémoire enfouie, c’est réveiller la douleur et les émotions ressenties au moment de son activation, mais le processus s’achève par une libération, « un profond soulagement ». Laissons le Dr. Janov donner son point de vue : « je me suis fixé une tâche assez intimidante : démontrer qu’aucune thérapie qui utilise les mots comme mode prédominant de traitement ne peut parvenir à créer un changement profond chez le patient. Cela inclut toutes les thérapies, d’introspection, cognitive, rationnelle émotive, hypnothérapie, psychanalyse, biofeedback (bioréaction), mouvement des yeux, désensibilisation et retraitement, et imagerie guidée/rêve éveillé dirigé. Elles peuvent toutes apporter une aide, mais aucune d’entre elles ne peut amener un changement profond de la personnalité, ou procurer un soulagement profond et durable ». Le traumatisme, sa douleur, créent une déconnexion entre le cerveau gauche (le cerveau pensant) et les parties plus primaires du cerveau. Le Dr. Janov a saisi que, pour guérir réellement, il fallait reconnecter l’ensemble, retrouver une unité intérieure. « Nous avons besoin à la fois de l’aspect sentimental d’une expérience et de sa compréhension. Si un sentiment est bloqué, le système se déplace immédiatement vers le système nerveux compensatoire pour obtenir l’équilibre ». Sur un plan de connaissance de soi, on retrouve là une orientation fondamentale de la Revue : ne pas refuser et refouler ce qui est. Laisser les émotions éclore, ce qui, sur un plan pratique, revient à sentir l’instant où, sans mot, « ça » refuse l’expérience et s’en détourne. « Ce que nous recherchons, c’est la lucidité de la conscience, des niveaux inférieurs de la conscience et de leur contenu ». La lucidité ne se manifeste que dans le cerveau gauche. Si elle est seule, déconnectée du sentiment, elle sera une défense, une façon de s’exclure de l’expérience. Être conscient, c’est accueillir ce qui se passe (pensées, émotions, gestuelle), car ce qui se passe se déroule dans la conscience. Un livre passionnant, donnant l’espoir que les thérapies puissent s’inspirer de ces travaux. Cependant, nous présumons que la qualité du thérapeute est, comme toujours, un point fondamental car les énergies mises en jeu viennent des tréfonds de l’âme. Ed. Alphée, 2009 - 432 p.
3e millénaire, (92), Été 2009
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Joop-le-philosophe | Feb 23, 2019 |
This review was written for LibraryThing Early Reviewers.
How does womb life affect a fetus? Does it shape his infancy? What about the rest of his life? Can a mother affect her pregnancy adversely by her mood, behavior or actions?

Arthur Janov, in his new book, Life Before Birth: The Hidden Script That Rules Our Lives, would go as far as to say that pregnancy and the first few months of life can determine whether someone will develop depression, diabetes, heart disease, asthma, or cancer. Janov, who is a leading psychologist and bestselling author, integrates neuroscience, psychotherapy, clinical observation and research in his narrative.

I was seven months pregnant when assigned to review this book, eager to begin, and hanging on every word.

Aside from his innovative gestational trauma therapy (he suggests a psychotherapy that accesses womb-life to relive early traumatic experiences), Janov tells us a lot about how a mother’s behavior during pregnancy shapes her unborn child. If a mother experiences significant anxiety during pregnancy, her child may be at risk for a higher output of the stress hormone cortisol. Maternal stress can have disastrous effects on a fetus, affecting oxygen levels, which can lead to placental failure. Janov also focuses on epigenetics, how genes are affected by intrauterine life. Apparently, genes can be changed through experiences the fetus undergoes while in the womb. The fetus may decide whether to express or repress certain genes.

I agree with Janov that stress is an anathema to pregnancy, but I have issues with some of his assertions. For instance, he cites one researcher who claims that the fetus is so incredibly vulnerable and fragile that even subtle perturbations in the mother’s mood can have measurable affects on the fetus that last for years. He also suggests that the low level of serotonin found in SIDS babies may be the result of previous traumas in the womb and at birth. What is the mother to do? Live in a bubble? How can a mother control subtle perturbations in her mood?

Continually, Janov stresses that a mother’s actions while carrying her infant have a lifelong effect. I found this to be his mission far more than spreading the message of his new therapy. Babies in the womb feel their mother’s anxiety as early as four months gestation, he states, so pregnant women should watch their stress levels, avoiding tasks or projects that could exacerbate it.

It’s hard to believe that the root of all of our problems come from what happened in the womb. I am not entirely convinced of his argument. But I do have to say that our society makes pregnancy seem like it’s not a special condition. Doctors tell pregnant women that they can do anything, run, work fulltime, travel. So I do champion Janov for elucidating that stress does affect the fetus and that a mother has a responsibility to her unborn child to avoid it.

Life Before Birth is a thought-provoking read. Janov is obviously well informed and knowledgeable, but the book itself suffers from too many generalizations, poor structural editing and organization. Chapters don’t progress from one to another. I think many writers of these types of books forget that both fiction and nonfiction books need a strong narrative to pull the reader thorough.

My upshot: It’s worth a read, but you may abandon along the way. One with a serious interest may hang on.
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yeldabmoers | 6 andre anmeldelser | Jul 12, 2012 |

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